Le 2ème secrétaire général adjoint du SLECG était invité sur une radio de la place ce lundi matin pour parler de l’assainissement du fichier des enseignants et de leur recensement.
Où en est-on sur le recensement des enseignants depuis la signataire du protocole d’accord?
Oumar Tounkara repond : Pour le recensement des enseignants, les commissions doivent être composées aujourd’hui. A l’heure où je vous parle, le secrétaire général du SLECG doit être au ministère de la fonction publique pour la constitution de ces commissions.
Acceptez-vous que le SNE et la FSPE soient associés au SLECG pour l’assainissement de ce fichier?
OumarTounkara:
Nous (le bureau national du SLECG) refusons de façon catégorique que le recensement se fasse avec le syndicat national de l’éducation et la fédération syndicale des professionnels de l’éducation. Pourquoi?
Parce qu’ils ne sont pas signataires de l’avis de grève. Ils disent qu’ils ont peur d’être marginalisés. Le recensement que nous voulons faire un recensement inclusif, un recensement qui n’exclut aucun enseignant en situation de classe et il n’est pas dirigé contre le SNE ou la FSPE. C’est un recensement non partisan que nous voulons faire: un recensement qui se veut transparent, limpide et clair
A partir du moment où ils ne sot pas signataires de l’avis de grès, nous n’accepterons jamais que nous fassions le travail ensemble.
Au moment où nous nous battions pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des enseignants, ils nous diabolisaient, ils nous traitaient de tous les mots.
Est-ce que tout ceci ne présage pas de la vengeance?
Nous n’avons aucune haine, aucune rancoeur contre aucun syndicat.
Synthèse de SOW MÔ YAYE,pour universiteactu.com