En application de la décision du syndicat libre des Enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) écartant Oumar TOUNKARA de sa structure syndicale, a causé d’autres répliques. Alors qu’il était l’élément clé du Syndicat, Oumar TOUNKARA après cette décision de la première autorité du SLECG s’était passé à un opposant contre toute idée d’Aboubacar SOUMAH, en appelant les Enseignants à être dans les salles de classes et de ne pas suivre la grève du Syndicat.
Tôt ce matin dans la localité de Kindia où le SLECG d’Aboubacar SOUMAH est reconnu, c’est-à-dire représenté par une base, les Enseignants ont décidé de lui retirer leur moto qui lui a été offerte au nom de la base. Selon nos informations, cette moto sur laquelle roulait Oumar TOUNKARA, n’était nullement pas pour lui, plutôt pour les Enseignants du SLECG à Kindia. C’est le ministère de l’éducation au temps de k² qui avait donné au SLECG une moto et une autre à la FSPE. Et c’est cette moto que réclament les Enseignants de Kindia.
Pour cause : comme il ne partage plus le même bord qu’eux alors que cette moto fait aussi l’affaire du SLECG, ses Enseignants engagés pour la cause du (Syndicat Libre des Enseignants et Chercheurs de Guinée), se sont décidés de lui retirer la moto pour disent-ils elle appartient au SLECG et non aux adversaires du SLECG. Pour le moment, le silence précaire règne de ce côté et Oumar quant à lui, on peut dire qu’il est devenu un piéton et les Enseignants du SLECG décident aussi de ne plus voir sa tête dans cette structure syndicale. Reste à savoir si, le philosophe Oumar TOUNKARA après cette humiliation, aura le courage de faire recourt à la justice.
Pour le moment, la tension monte entre lui et les enseignants. Au moment où nous publions cet article, les enseignants en grand nombre ont envahi la DPE de Kindia pour lui retirer cette moto, a-t-on appris d’une source sûre.
Affaire à suivre…