A l’entame du processus de recensement du fichier du personnel Enseignant, il aurait été promis au Syndicat à l’origine de la crise qui affecte le système Educatif, la présence de plus de 11.000 Enseignants fictifs sur ledit fichier.
À l’issue des travaux, le SLECG a systématiquement rejeté les résultats finaux des opérations, qui selon lui était en deçà de ses attentes.
Réagissant ce mercredi sur ce point précis, qui constitue d’ailleurs le nœud gordien de la présente crise, le Président de la commission de recensement, précise qu’il n’a jamais promis au SLECG, qu’il obtiendra 11.000 Enseignants au terme du processus de recensement en question.
« Ils ont très mal rédigé leur texte de protocole d’accord du 10 janvier. On leur a dit qu’il est possible qu’il y est 11.000 Enseignants fictifs, c’est une hypothèse. Mais eux, ils s’attendent à ce qu’il y ait 11.000 mais ce n’est pas possible. Moi je ne suis pas créateur de fictifs, il m’a été confié d’assainir le fichier, assainir c’est rendre sain, distinguer à l’intérieur de tout le corps Enseignant qui est qui… On ne m’a jamais demandé de trouver 11.000 Enseignants »
Enfin le conseiller du chef de l’État en charge des questions éducatives indique qu’il est inadmissible de prendre une hypothèse pour une vérité absolue.