Depuis la prise du pouvoir le 05 septembre 2021, le Président Mamadi DOUMBOUYA et la Ministre de l’Enseignement Supérieur, Docteur Diaka SIDIBÉ, ont impulsé des réformes audacieuses visant à rehausser le statut des fonctionnaires de l’enseignement supérieur dans notre pays.
Leur engagement inébranlable envers le bien-être et l’épanouissement professionnel se manifeste à travers des mesures concrètes telles que l’octroi de primes de logement, de transport, ainsi que des primes de grades, de préparation et de craie, marquant ainsi une ère nouvelle de reconnaissance et de valorisation pour les acteurs clés de l’éducation et de la recherche scientifique dans le pays.
Cette énième initiative venant du Président et de l’ensemble du gouvernement dans le domaine de l’enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l’innovation, est à saluer et à pérenniser tout en l’améliorant davantage.
Pour ce faire, tous ces efforts consentis par le Président en compagnie de sa Ministre de l’enseignement supérieur, méritent d’être soutenus. Par ailleurs, sans pour autant remettre en cause ces acquis et ces progrès académiques, il reste certaines avancées à faire, allant dans ce sens, et que, nous pouvons citer en guise de contribution sous forme de recommandations qui sont entre autres :
1 – Intégrer des mécanismes de reconnaissance pour les contributions exceptionnelles à la recherche et à l’enseignement ;
2 – Promouvoir les primes de publication d’articles, de brevets, de participation à des conférences internationales, et de mise en place de projets innovants ;
3 – Favoriser la mise en place de laboratoires de recherche scientifique de renommée internationale pour faciliter la recherche, l’enseignement et l’innovation.
4 – Construire des centres d’études ou des think tanks (laboratoires d’idées) pour l’orientation de la politique et de la stratégie nationale voire de la géopolitique internationale sur haute gouvernance de la Présidence de la République et de la Primature.
Mes félicitations Madame la Ministre Tiranké Diaka
Par: Ibrahim MANSARÉ, PhD.
Consultant en finance participative