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UA: Les chiffres du recensement biométrique des enseignants et étudiants continuent à être critiqués par certains observateurs en Guinée.

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Les chiffres du recensement biométrique des enseignants et étudiants continuent à être  critiqués par certains observateurs en Guinée.

Les résultats du recensement biométrique continu à faire du bruit  au sein de la classe éducative Guinéenne. Si l’on s’en tient aux chiffres donnés par les universités privées, à moins qu’elles ne veuillent noyer le poisson. Il est de même  que certains sont   d’accords  que personne ne peut compter 32 mille fictifs dans un effectif où l’Etat ne reconnait qu’il n’a que de 25711 à sa charge a affirmé un enseignant qui a préféré gardé l’anonymat.

Après la grève des fonctionnaires et des enseignants contractuels,  il n’est pas exclu que le nombre soit aussi gonflé comme les fictifs de cette bio métrisation. Le retard de paiement des bourses des étudiants orientés dans ces universités privées qui avaient menacé de fermer boutiques, l’Enseignement supérieur et la recherche scientifique ont commandité une opération de bio métrisation pour la gestion des effectifs. Tout permet de dire que l’on avait voulu dissuader les fondateurs des universités privées de mettre leur menace de grève en pratique, et que, confondant vitesse et précipitation, l’on s’est emmêlé les pinceaux dans ce plantage grossier. Les résultats ont fait exactement l’effet contraire. Entre le boomerang et l’incompétence, le choix est au choix.

Mais si l’Etat est si mauvais payeur pour bloquer le paiement des bourses des étudiants pendant deux ou trois ans. L’on se demande de nos jours,  comment les universités privées pourraient donc  donner des enseignements de qualité, vu les charges pour le fonctionnement correct.

La question de  l’incompétence est aussi vue du côté de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, parle de résultat provisoire et tend une main de dialogue aux partenaires, après les avoir couverts de suspicions de fraudes.

En définitive, dans le but de freiner les ardeurs des universités privées dans leurs revendications et dans leur menace de grève, le département en charge de l’enseignement supérieur demande aux universités privées de ne pas considérer ces tentatives éventées d’intimidation et de continuer à fonctionner comme si de rien n’était pour ne pas pénaliser les étudiants qu’elles ont en charge et qui leur font confiance.

Le chiffre de 46 mille fictifs au public et au privé a été publié, ce qui donne 32 mille fictifs au privé et 14 mille au public, une aberration. Tout le monde sait en général que le public est plus enclin à la concussion que le privé, ce n’est pas à l’Enseignement supérieur et à la recherche scientifique qu’il y aura exception, affirmé des enseignants interrogé par votre site de référence universiteactu.com