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Aboubacar SOUMAH charge Dr Bano BARRY :  » Il avait une mission et un agenda caché… »

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L’ors du recensement du fichier des enseignants, Aboubacar SOUMAH, dit avoir signalé des anomalies qui sont toujours revenues malgré les corrections apportées.

Le numéro un du SLECG, a ainsi mis en cause Dr Alpha Amadou Bano BARRY qui selon lui, a tripatouillé les résultats du recensement du personnel Enseignant de la fonction Publique.  Il l’a également accusé d’avoir envoyé des missions conduites par des Enseignants à l’intérieur du pays afin de convaincre les autres Enseignants à valider le rapport issu de ce recensement afin d’accepter les (450.000) Gnf proposés par le gouvernement.

« Nous ne pouvons pas passer toute une année sur un recensement qui n’a pas abouti et qui a été saboté par le Gouvernement à travers son Président Bano BARRY … Il demande en dernière position, de valider ce rapport là on dirait que nous nous sommes rentrés à l’école le dimanche. L’homme qui se réclame le plus honnête (Bano Barry ndr), a envoyé des missions à travers le pays auprès des Enseignants pour faire valider son rapport que nous avons rejeté à travers certains de nos camarades parmi eux, il y a  N’dantari BARRY de Ratoma qui est membre du bureau exécutif du SLECG et Lambert THEA , secrétaire général de Matam. Ce sont les deux qui ont demandé aux Enseignants, d’accepter le rapport et les quatre-cent cinquante mille (450.000) proposé par le Gouvernement. Certains éléments de Kadiatou BAH, ont aussi reçu l’argent et sont en train de sillonner dans le pays pour déstabiliser notre mouvement au nom de Dr Bano BARRY.  Bano dans la commission, nous a été imposé par la Présidence donc, ils ont violé le protocole d’accord », croit-il savoir.

Aboubacar SOUMAH conclut donc que Dr Bano BARRY avait pour rôle de jouer en leur  » défaveur « .

« Il avait une mission et un agenda caché, qui est de tirer en longueur sur le processus pour faire perdre le temps jusqu’à la fin d’année 2019, d’être aussi dans la fourchette définie par le Gouvernement en terme de montant prévu pour payer les quatre cinquante mille (450.000) et sa troisième mission était de déstabiliser et décrédibiliser le SLECG en confondant les Enseignants fictifs à ceux qui sont en situation de classe … », a accusé le  secrétaire général du SLECG.