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Dinguiraye: Un Élève de la 9ème Année accusé de viole sur Une Élève de la 4ème Année

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Malick SOCK,  Élève en classe de 9ème année au Collège Bowal serait l’auteur de ce délit sexuel sur Hawa CISSOKO  âgée de 8 ans, Élève  de la 4ème année à l’École Privée “Mon Avenir”

L’acte ce serait passé ce Mercredi 17 novembre 2021 dans le quartier Kouroula, secteur Bowal, commune urbaine de Dinguiraye.  

Selon  la présumée victime,  après les révisions vers 22h,  au sortir de la cour elle a  été poursuivie par son présumé bourreau. Et elle fût rattrapée par ce dernier devant leur cour. Il l’a conduite dans les buissons et fermer sa bouche à l’aide de sa main pour abuser sexuellement d’elle. 

Pour Marabou CISSOKO, oncle de la victime, c’est aux environs de 20h qu’il est venu chercher la fille en famille pour dit-il aller lui faire réviser avec les autres enfants de leur famille  à environ 100m.  À son retour de la ville vers 22h, la fille n’étant toujours pas de retour, il a demandé à la mère de la fille (la femme de son frère)  d’aller lui chercher.  En cours de route, elle a trouvé le jeune garçon entrain d’abuser de sa fille.  Ce dernier a pris la fuite.  C’est ainsi qu’il a fait appel à la gendarmerie pour mettre main sur le garçon.

ll demande justice pour que ces genres de choses ne se répètent plus jamais.

Selon le Docteur Abdoulaye CAMARA, chirurgien chef de l’hôpital préfectoral, la vie de la petite n’est pas en danger mais sa vulve a complètement éclatée et elle a beaucoup saigné.  Les premiers soins ont été faits mais il y a des lésions au niveau de son appareil génital.

Adjudant Maata BANGOURA,  officier de police judiciaire affirme que les deux parties ont été entendues sur  PV et le présumé auteur  a été déféré à la maison d’arrêt de Dinguiraye. 

Mariama Bailo DIALLO, Présidente du club des jeunes filles leaders, condamne avec la dernière énergie cet acte qui n’est pas une première à Dinguiraye.  Elle demande à ce que toute la lumière soit faite et que l’auteur soit sanctionné à la hauteur de sa forfaiture. Selon elle, c’est par manque de sanctions que les cas de viols se multiplient du jour au lendemain.

Après le crime,  les parents trouvent les moyens de retirer la plainte et de régler le problème à l’amiable.

 Affaire  à  suivre !

lerevelateur224