Les boursiers d’État des Écoles Franco-Arabes peuvent désormais continuer à poursuivre leurs études supérieures au royaume du Maroc, après plusieurs années d’interruption du processus.
Dame Kadiatou BAH, secrétaire générale du SLECG, a salué ce qu’elle qualifie de réparation d’une injustice par le département de l’Enseignement Pré-Universitaire.
« Nous avons compris que les nouvelles autorités se préoccupent beaucoup plus de la situation des enseignants et des élèves eux-mêmes. Nous savons que les écoles franco-arabes étaient franchement laissées pour compte. Il faut oser le dire parce que mêmes les boursiers, après avoir travaillé durement durant toute une année scolaire vous avez droit à une rémunération pour aller faire le renforcement des capacités ailleurs comme les autres étudiants. C’était une injustice sociale. Si cette injustice sociale est réparée aujourd’hui par ces nouvelles autorités nous ne ferons que les féliciter et les remercier à travers notre département de tutelle le ministère de l’enseignement pré-universitaire et de l’alphabétisation MEPU-A », a-t-elle déclaré.
La secrétaire générale du SLECG a, dans la même lancée, invité les boursiers d’État à servir le pays au terme de leur formation Universitaire.
Faut-il le rappeler, à l’issue du réexamen des dossiers des lauréats du baccalauréat des sessions 2020 et 2021, 14 boursiers des Écoles Franco-Arabes devront dans les prochains jours partir au royaume du Maroc pour poursuivre leurs Études Supérieures.
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