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Conakry/Grève du SLECG : 《Aucun Enseignant n’a été déshabillé ou humilié au lycée Bonfi》 dixit Ibrahima 2BARRY DCE de Matam

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Ibrahima 2BARRY,Directeur Communale de l'Education de Matam

Depuis quelques jours des allégations montées de toute pièces empoisonnent les réseaux sociaux. Ces allégations viseraient à remettre en cause la crédibilité du Directeur Communal de l’Education de Matam. Depuis sa nomination, l’homme ne cesse de mettre son énergie au compte de sa Commune pour rehausser la formation des encadreurs et des Élèves .

Sur les événements survenus au Lycée Bonfi , certains Enseignants membres du SLECG se sont introduits dans la cour de l’école pour injurier le Proviseur Mr BERETE. Cette altercation aurait été provoquer par un Enseignant du dit établissement et membre du SLECG, A en croire notre source .

L’Enseignant voulais dissuader  les Elèves à ne pas venir  à l’Ecole pour suivre le mot d’ordre de Grève du   SLECG. Aussitôt un Elève de la salle  s’est levé pour aller informer le Proviseur. Informer de la situation, le Proviseur  convoque l’Enseignant à la Direction pour recevoir des explications sur ces motivations. Arrivée à la Direction, l’Enseignant se formalise et se jette sur le Proviseur. C’est ainsi le principale a appelé la police pour intervenir.

Interroger par la police, l’Enseignant  a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Le même jour, certains Enseignants grévistes prennent d’assauts  l’Etablissement venger leur Camarade en proférant des injures grossières aux responsables de l’Ecole . C’est dans cette atmosphère que la police est venu pour intervenir. Les Enseignants ont été arrêtés  et conduit à la police pour être entendu .

 Joint au téléphone par notre rédaction, ibrahima 2BARRY explique : « Aucun Enseignant n’a été déshabillé ou humilié dans la cour du lycée Bonfi. C’est sont des allégations montée de toute pièces contre ma personne. Mes détracteurs veulent ma tête . Depuis ma nomination à Matam.   ils sont jaloux des reformes que j’ai engagée dans la commune en faveur de l’Education.

Aujourd’hui les résultats sont  visible sur le terrain  et je suis fière de ça, j’ai été Enseignant et Formateur pendant plusieurs années. Je ne me suis mêlé ni de près,ni de loin à ces événements.

Je ne peux pas me permettre d’accepter des telles choses susceptibles de nuire à la dignité humaine d’un Enseignant quelconque. Le métier de l’Enseignement est un métier noble pour le quel j’ai beaucoup d’estime. Au regard de mon passé, je ne peux pas contribuer à l’humiliation d’un collègue Enseignant. Si je le fait j’aurais trahi mon statut et mon métier.

Je rassure les Enseignants ,les Élèves, les parents d’Éleves et l’Opinion nationale que de par les textes qui légifèrent la gestion des Enseignants, notamment le code de conduite, L’Enseignant a droit au respect et à la considération. Je sais compter sur l’esprit de compréhension et de sagesse des Enseignants pour faire la part des choses. Je saisi cette opportunité pour lancer une fois de plus un appel au SLECG de Monsieur Aboubacar SOUMAH de revenir à la table de négociation pour sauver l’école Guinéenne.  » conclut t-il